Le projet a demandé de nombreuses études pour concilier le respect de l’environnement, l’aménagement du territoire ainsi que l’aspect culturel de Tanger. Pour unir le port et la ville dans un espace limité, cinq démarches ont été mise en œuvre :

• Optimiser les espaces publics et privés au niveau de la surface et de l’organisation.
• Les nouveaux bâtiments doivent être disposé en prenant compte de l’impact visuelle pour la ville, le port et la baie.
• Sauvegarder et restaurer les monuments historiques et emblématiques de la zone pour garder l’esprit et l’aspect culturel du site.
• Pour faire un site vivant et animé il faut équilibrer les fonctions urbaines
• Respect de l’environnement tout au long de la reconversion du port.

L’aspect environnemental a été une préoccupation majeure ainsi que le développement durable et la préservation de la nature. De nombreuses études ont été menées pour le respect de l’environnement.

L’étude d’insertion environnemental a abouti sur l’accord de la Commission Nationale d’Etude d’Impact (CNEI). Un dispositif de suivi et de contrôle a été mis en place durant toute la phase de réalisation. Celui-ci sera maintenu par la suite pour l’exploitation. En effet, pour respecter les caractéristiques bioclimatiques de la région, le système de végétation du port reconverti sera composé d’espèces propres à la zone de Tanger : pins maritimes, pins pinea et palmiers des Canaries. De plus, les espèces existantes déjà dans la ville de Tanger seront ajoutées : araucarias, ficus et caroubiers, etc.

De même une solution de mobilité préservant l’environnement a été élaborée, un téléphérique sera installé.